Tuesday, December 18, 2018

L'Assemblée générale des Nations Unies adopte une 65eme résolution condamnant les abus des droits humains en Iran


Maryam Radjavi: Renvoyer les crimes du régime, en particulier le dossier du massacre de 1988, devant le Conseil de sécurité des Nations Unies est le droit du peuple iranien et un préalable à la paix
L’immunité des criminels qui occupent certaines des plus hautes fonctions en Iran, a donné l'assurance que leurs crimes dans d'autres parties du monde resteraient également sans réponse.
Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne, s'est félicitée de l'adoption de la 65ème résolution des Nations Unies condamnant les violations systématiques et graves des droits de l'homme en Iran.
Elle a estimé que l'adoption de cette résolution par les Nations Unies "a une nouvelle fois confirmé que le régime piétinait de manière flagrante les droits les plus fondamentaux du peuple iranien dans tous les domaines politiques, sociaux et économiques".
La résolution des Nations unies souligne la fréquence alarmante du recours à la peine de mort, y compris contre les mineurs, le recours généralisé et systématique à la détention arbitraire, les mauvaises conditions de détention, le fait de priver délibérément les prisonniers de l'accès à un traitement médical adéquat. Elle souligne les « morts suspectes en détention. »
Mme Radjavi a insisté : « Bien que la résolution n'aborde pas de nombreux aspects des crimes inhumains commis par la dictature religieuse au pouvoir en Iran, elle ne laisse aucun doute sur le fait que dans le monde d'aujourd'hui, ce régime est le plus violent et le plus transgresseur des droits humains. L’inaction de la communauté internationale contre les crimes de ce régime l’a encouragé à poursuivre et à les répandre, le dernier exemple en date étant les perquisitions barbares aux domiciles des sidérurgistes d’Ahvaz et l’arrestation de dizaines de ceux qui exigent leurs droits minimaux. "
Elle a ajouté: « L’impunité des auteurs du massacre de prisonniers politiques de 1988, un des exemples les plus flagrants de crimes contre l’humanité après la Seconde Guerre mondiale, a joué un rôle majeur pour encourager le régime à poursuivre ses crimes contre l’humanité. En particulier, les dirigeants du régime sont soit directement impliqués, soit continuent de défendre cet horrible crime et empêchent la divulgation de détails tels que les noms des victimes et leurs lieux de sépulture. "
« L’immunité des dirigeants du régime a non seulement conduit à des violations plus brutales des droits de l’homme, mais leur a également assuré que leurs crimes dans d’autres parties du monde resteraient également sans réponse. Cela a conduit à l’élargissement de la belligérance, du fondamentalisme et du terrorisme du régime dans la région et dans le monde », a fait valoir Mme Radjavi.
« Par conséquent, la communauté internationale devrait enquêter sur les crimes de ce régime, en particulier sur le massacre de 1988, et renvoyer le dossier de ces crimes au Conseil de sécurité des Nations Unies. Ali Khamenei, Hassan Rohani et les autres responsables de ces crimes doivent être traduits en justice. C'est non seulement le droit du peuple iranien, mais également un préalable à la paix et à la lutte contre le terrorisme. »
Secrétariat du Conseil national de la résistance iranienne
Le 17 décembre 2018
#Iran #UN #Radjavi

Sunday, December 16, 2018

Les associations iraniennes organisent une conférence en multiplex simultanée dans 42 villes d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Australie


Maryam Radjavi: Le terrorisme est la stratégie adoptée par le régime, impliquant tous ses dirigeants, pour contrecarrer sa chute
Le corps des gardiens de la révolution, le ministère du Renseignement (Vevak) et la machine de propagande d'État doivent figurer sur la liste des organisations terroristes des États-Unis (FTO) et la liste du terrorisme de l'Union européenne, la ligne de financement du régime doit être bloquée, le dossier des crimes contre l'humanité commis par le régime doit être saisi par le Conseil de sécurité de l'ONU et ses dirigeants traduits en justice.
Lors d'une vidéoconférence réunissant les associations iraniennes et organisée simultanément dans 42 villeset capitales d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Australie, samedi 15 décembre, Mme Maryam Radjavi s'est adressée aux communautés iraniennes participantes.
Les rassemblements des Iraniens ont eu lieu simultanément dans 42 villes d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Australie, notamment à Ashraf 3 (Albanie); Bruxelles ; Ottawa, Toronto, Montréal, Vancouver, Winnipeg (Canada); Copenhague, Arhus (Danemark); Londres, Liverpool, Bristol, Sheffield et Birmingham (Royaume-Uni); Helsinki, Turku (Finlande); Paris ; Berlin, Cologne, Stuttgart, Francfort (Allemagne); Rome; Luxembourg; La Haye, Zwolle, Eindhoven (Pays-Bas); Oslo, Kristiansand (Norvège); Bucarest; Zurich, (Suisse); Stockholm, Göteborg, Malmö, Boras, Solleftea (Suède); Washington D.C., Berkeley, comté d'Orange, Atlanta, Dallas (États-Unis); Vienne, (Autriche); et Sydney (Australie)…

Patrick Kennedy, ancien membre démocrate de la Chambre des représentants (États-Unis); Pandeli Majko, ministre d'État à la Diaspora et ancien Premier ministre (Albanie), Fatmir Mediu, chef du parti républicain et ancien ministre de la Défense (Albanie); Sid Ahmad Ghozali, ancien Premier ministre d’Algérie; Ingrid BetancourtLord Navnit Dholakia, chef adjoint du Parti libéral démocrate (Royaume-Uni); Yves Bonnet, préfet honoraire et ancien directeur de DST, Mgr. Jacques GaillotPierre Bercis, Président des Nouveaux droits de l'Homme, Guy Schmitt, maire de Soultz-les-Bains, Sylvie Fassier, ancienne maire de le Pin (France); Le sénateur Gerry Horkan, vice-président du comité des finances au Sénat d'Irlande; Antonio Tasso, membre du Parlement (Italie); Peter Eide, membre du comité judiciaire parlementaire (Norvège); et de nombreux autres législateurs, élus européens, ainsi que de personnalités politiques, juridiques et religieuses étaient parmi les participants et les orateurs de cette conférence…
Ils ont ajouté qu’en tenant compte des soulèvements en Iran et la perspective de renversement du régime, ils considéraient qu'il était de leur devoir de révéler les manigances et les machinations du ministère du Renseignement (Vevak), de la Force terroriste Qods et des autres agences du régime religieux, contre la seule alternative démocratique au régime clérical en Iran.

#Iran #Albania #Paris #USA #Betancourt

Friday, December 14, 2018

Conférence en multiplexe d’associations iraniennes dans une cinquantaine de villes


Le terrorisme de Téhéran en Occident et la nécessité d’y faire face avec fermeté

Les associations représentatives de la diaspora iranienne en Europe, en Amérique du Nord et d’Australieorganisent le 15 décembre 2018 une conférence en multiplexe dans 50 villes du monde pour appeler à s’opposer à la montée du terrorisme d’Etat du régime iranien dans les capitales occidentales. Elles exigeront une politique ferme pour faire face à ce terrorisme, y compris l'inclusion du ministère du Renseignement et de la Sécurité du régime (Vevak) dans la liste du terrorisme de l'UE, des États-Unis et de l'Australie.
Les différents endroits rejoindront en live par multiplex cette conférence. Cet événement coïncide avec l'anniversaire des manifestations et des grèves en Iran qui se poursuivent sans relâche depuis un an. 
Les manifestations continues et généralisées de 2018 et l'expansion des unités de résistance à travers le pays constituent un phénomène nouveau en Iran. La perspective d'un changement en Iran, la nécessité pour la communauté internationale d'adopter une politique ferme contre le régime en appui du peuple iranien et son désir de changement seront abordés lors de la conférence. 
Les associations iraniennes dénonceront les violations flagrantes des droits humains, notamment la répression des manifestants. 
En 2018, quatre complots terroristes et d’espionnage du régime iranien en Europe et aux Etats-Unis ont été neutralisés. Actuellement un diplomate de Téhéran et trois autres individus sont incarcérés en Belgique pour avoir voulu mener un attentat à la bombe contre le grand rassemblement en faveur du Conseil national de la Résistance (CNRI) au nord de Paris à Villepinte. Plusieurs diplomates iraniens ont été expulsés de pays européens pour leur rôle direct dans des complots terroristes dans ces pays. Un agent du ministère iranien des Renseignements a été arrêté au Danemark pour une tentative terroriste, et deux autres agents des services de renseignement ont été arrêtés et mis en examen aux Etats-Unis.
Tandis que tous les signaux sont au rouge avec la montée du terrorisme d’Etat des mollahs, en particulier en Europe, l’Union européenne n’a entrepris aucune mesure sérieuse pour contrer ces menaces terroristes croissantes.
 #Iran #Europe #Téhéran

Tuesday, December 4, 2018

L’IRAN EST RESPONSABLE DE CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ EN TAISANT LE SORT DE MILLIERS DE DISSIDENTS ASSASSINÉS




IRAN CRIMES DE GUERRE - CONTRE L’HUMANITÉ

LE 4 DÉCEMBRE 2018

  Des milliers de personnes ont été victimes de disparitions forcées et d’exécutions extrajudiciaires dans les prisons en 1988.
  Une campagne est menée pour nier, déformer la vérité et causer du tort aux familles des victimes.
 L’ONU doit mener une enquête indépendante sur ces crimes contre l’humanité.
Dans ce rapport intitulé Blood-soaked secrets : Why Iran’s 1988 prison massacres are ongoing crimes against humanity, Amnesty International demande à l’ONU de mener une enquête indépendante sur les disparitions forcées massives et les homicides extrajudiciaires restés impunis depuis trois décennies.

LE « MASSACRE DES PRISONS » DE 1988
À travers l’Iran, des groupes de prisonniers ont été rassemblés, ont eu les yeux bandés et ont été conduits devant des commissions composées d’un procureur et de représentants de la justice, des services de renseignement et de l’administration pénitentiaire. Ces « commissions de la mort » ne ressemblaient en rien à un tribunal et leur procédure était sommaire et arbitraire à l’extrême : aucune possibilité de faire appel à aucun stade de la procédure.
Certains devaient répondre à des questions cruelles, par exemple s’ils étaient disposés à nettoyer un champ de mines pour aider l’armée ou à participer à un peloton d’exécution.
Si la majorité des victimes étaient membres de l’OMPI, des centaines de prisonniers affiliés à des organisations politiques de gauche et à des groupes d’opposition kurdes ont également été exécutés.

DE HAUTS RESPONSABLES IMPLIQUÉS DANS LES MASSACRES
La plupart des représentants de l’État ayant participé aux « commissions de la mort » en 1988 ont occupé, et parfois occupent encore, des postes de pouvoir en Iran. En particulier, le rapport compile des éléments prouvant que les fonctionnaires cités ci-dessous ont pris part aux « commissions de la mort » :
  • Alireza Avaei, actuel ministre de la Justice en Iran.
  • Hossein Ali Nayyeri, qui était juge de la charia (loi islamique) au sein de la « commission de la mort » à Téhéran
  • Ebrahim Raisi, procureur général adjoint à Téhéran en 1988 et membre de la « commission de la mort » de Téhéran.
  • Mostafa Pour Mohammadi, ministre de la Justice de 2013 à 2017, représentait le ministère du Renseignement au sein de la « commission de la mort » à Téhéran.


«  En l’absence de perspective de justice pour les victimes en Iran, il est d’autant plus crucial que l’ONU mette sur pied un mécanisme international indépendant, impartial et efficace afin de contribuer à traduire en justice les responsables présumés de ces crimes ignobles. »

#Amnesty_international #Iran #Massacres

Sunday, December 2, 2018

Un téléthon pour le soulèvement en Iran


Chaque année un téléthon est organisée dans la diaspora iranienne et la population en Iran en faveur de la chaine d'opposition Simaye-Azadi, « le visage de la liberté », qui diffuse par satellite 24h sur 24h depuis dix-sept ans vers l’Iran. Cette année le téléthon, qui a pour thème « le soulèvement continue en Iran », se déroulera du 30 novembre au 3 décembre.


Cela fait dix-sept ans que malgré tous les obstacles, comme les brouillages effectués par le régime des mollahs, cette chaîne fonctionne en toute indépendance financière, sans la moindre publicité. Un véritable exploit.
Le Téléthon de solidarité organisé par la chaine de la Résistance iranienne « Sima-ye-Azadi », qui est en cours actuellement jusqu’à lundi 3 décembre, a vu de nombreux Iraniens de l’intérieur et de l’étranger appeler pour des promesses de dons qui permettra d’assurer le financement des programmes de la chaîne satellite qui diffuse 24h sur 24 en Iran, en Europe, au Moyen-Orient et aux Etats-Unis ; chaîne sur laquelle on trouve régulièrement des informations sur le mouvement de la résistance et qui bénéficie d’une très large audience.

#téléthon #Iran

Friday, November 30, 2018

بیست و سومین برنامه همیاری ملی با سیمای آزادی روزهای جمعه، شنبه و یکشنبه ۹، ۱۰ و ۱۱ آذر ۹۷ برابر با ۳۰ نوامبر، اول و دوم دسامبر ۲۰۱۸ برگزار خواهد شد

گلریزان همیاری، کارزاری میهنی برای کمک‌رسانی بی‌شائبه به رسانه‌ای است که صدای قیام مردم ایران برای آزادی و فریاد اعتراض‌ها و خیزش‌های حق‌طلبانه اقشار به ستوه آمده از ستم و چپاول آخوندها را منعکس می‌کند.


شور و شوق هم‌وطنانمان برای مشارکت در همیاری ملی با سیمای آزادی، بیانگر عزم جزم ملت ما برای نیل به آزادی و حاکمیت مردمی است و کارزاری است که هر بار، از دل زندان‌های قرون‌وسطایی رژیم آخوندی تا خیابان‌ها و محله‌ها و مدارس و دانشگاه‌ها و کارخانه‌ها و خانه‌های هم‌وطنانمان، و از شهرهای مختلف مهین تا اقصا نقاط جهان گسترش پیدا می‌کند.
https://bit.ly/2E2XLII


Thursday, November 29, 2018

Stand d'information d'ARPDH se tient à Paris

Photos- Novembre 2018
Association des Réfugiés Politiques pour les Droits de I'Homme








#ARPDH #Paris

Qui est le plus touché par les sanctions contre le régime en Iran ?

Avec la nouvelle série de sanctions, la propagande du régime iranien veut faire croire qu’il se soucie des Iraniens. Tout en prétendant que la population iranienne est la cible réelle des sanctions, le régime ne répond pas aux questions suivantes :
1. Qui est la cause des sanctions et pourquoi ces sanctions visent-elles le régime en premier lieu ?
2. Comment était l'économie iranienne avant et après les sanctions ?
3. Comment les recettes pétrolières de l'Iran sont-elles été dépensées jusqu'à présent ?
4. Les sanctions visent-elles également les produits de base de l'Iran ?
La cause réelle des sanctions n'est rien d'autre que le régime des mollahs lui-même. Leurs activités nucléaires en cours et leurs investissements dans le terrorisme se sont avérés être les plus préjudiciables aux Iraniens.
Au lieu de dépenser la richesse nationale pour la population, Khamenei a dépensé des milliards de dollars en armes nucléaires et en terrorisme au Moyen-Orient. Quelque chose qu'aucun représentant du régime n'a jamais reconnu ou prit la responsabilité de quelque façon que ce soit.
Quel était l'état de l’économie iranienne avant et après les sanctions ? Jetons un coup d'œil au seuil de pauvreté de l'Iran au cours de la dernière décennie. On constate qu'avant même l'entrée en vigueur des sanctions, les Iraniens connaissaient déjà de nombreuses difficultés, qui n’ont fait qu'empirer année après année. Il faut souligner qu'elles n'ont jamais rien eu à voir avec le manque de ressources nationales.
L'Iran a vendu d’énormes quantités de pétrole au fil des ans ; par exemple, 618 milliards de dollars au cours des 8 années de gouvernance d'Ahmadi Nejad, et 273 milliards de dollars à l’ère de Rohani (jusqu'à l'an dernier seulement). Les récents rapports de la Banque mondiale indiquent que 533 milliards de dollars ont été prêtés au régime iranien l'année dernière, soit 5 fois plus qu’en 2016. Les rapports indiquent également que la proportion de la dette extérieure de l'Iran par rapport à son revenu national brut est d'environ 1,4 %, ce qui est le plus faible de tous les autres pays à revenu faible ou intermédiaire.
Au regard de ces informations, l’économie iranienne ne semble pas promise à un avenir très florissant.
Dans une récente interview avec Tasnim (15 juin 2018), Faramarz Tofighi, un représentant du Syndicat des travailleurs, a déclaré que 83% des travailleurs iraniens vivent actuellement en dessous du seuil de pauvreté, et qu'ils subissent de fortes pressions en raison de l’inflation incontrôlable.
Alors que le régime continue de dépenser la richesse nationale pour assurer sa propre survie, les besoins fondamentaux de la population sont ignorés et elle continue de souffrir de la faim chaque jour. Comment les recettes pétrolières de l'Iran ont-elles été dépensées jusqu'à présent ?
Les Iraniens continueront de souffrir de difficultés économiques tant que le régime s'en tirera avec ses projets nucléaires onéreux et ses activités bellicistes dans la région. Comme on peut voir dans le budget de 2018, la plus grande partie des revenus a été continuellement affectée aux Gardiens de la révolution (pasdaran) et à d'autres branches répressives du régime. Et c'est sans compter les détournements de fonds de la part de plusieurs responsables du gouvernement et des membres de leur famille.
#Iran #Sanction

Sunday, November 25, 2018

L’Iran détient l’un des records les plus élevés en matière de violences faites aux femmes


Appel à une action internationale pour mettre fin à la violence institutionnalisée contre les femmes en Iran

Alors que le monde entier célèbre la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, la Commission des femmes du CNRI appelle la communauté internationale à prendre des mesures pour tenir le régime iranien responsable de la violence institutionnalisée contre les femmes en Iran.
La Constitution et les lois du régime théocratique institutionnalisent la violence à l’égard des femmes et promeuvent les peines cruelles de flagellation, de lapidation et d'aveuglement.
L'Iran est le seul pays au monde où les femmes ont été exécutées ou torturées à mort par milliers pour dissidence. Près d'un millier de femmes ont été arrêtées l'année dernière et ont subi des violences en détention pour avoir participé à des manifestations antigouvernementales. 85 femmes ont été exécutées depuis l'arrivée au pouvoir du président des mollahs Hassan Rohani.
Les chiffres officiels au cours de l'année écoulée attestent d'une augmentation drastique de la violence à l'égard des femmes en Iran. Les experts affirment que sous le régime des mollahs, « l'Iran détient l'une des records les plus élevés en matière de violences à l’égard femmes ». (L'agence de presse officielle ILNA, 18 septembre 2018)
Admettant que les dernières recherches sur les violences faites aux femmes en Iran remontent à 14 ans, les experts du régime ont révélé que 66 % des femmes iraniennes ont été victimes de violences au cours de leur vie. (L'agence de presse officielle ISNA, 16 novembre 2018) Bien que cela représente le double de la moyenne mondiale, c'est une sous-estimation de la réalité de la vie des femmes en Iran.
Un membre du Majlis a affirmé que « la violence conjugale contre les femmes est omniprésente dans la société ». (L'agence de presse officielle IRNA - 25 novembre 2017)
Toutefois, le régime a entravé l'adoption du projet de loi sur la prévention des violences à l'égard des femmes. Non seulement le pouvoir judiciaire a omis environ la moitié des articles de ce projet de loi, mais il l'a ajourné pendant huit ans et ne l'a pas transmis au Majlis pour adoption.
La forme la plus courante de violence infligée aux femmes en Iran est les mesures prises par l'État pour imposer le port obligatoire du voile. Des dizaines de clips vidéo diffusés sur les médias sociaux au cours de l'année écoulée révèlent la barbarie des « patrouilles d'orientation » envers les femmes iraniennes dans les rues et les parcs.
Une autre forme courante de violence est le mariage précoce forcé, largement pratiqué dans tout le pays. Il a été officiellement reconnu que quelque 180 000 fillettes sont contraintes de se marier chaque année. Les experts ont également souligné l'enregistrement de centaines de mariages de filles de moins de 10 ans. (L'agence de presse officielle IRNA - 5 août 2018)
Les experts du régime ont également reconnu que les structures juridiques, judiciaires et disciplinaires existantes en Iran permettent aux hommes de recourir à la force et de commettre des actes de violence contre les femmes. (L'agence de presse officielle IRNA - 18 juillet 2018)
La nature institutionnalisée de la violence contre les femmes en Iran et cautionnée par l'État, appelle la communauté internationale à prendre des mesures pour tenir le régime responsable de ses crimes à l’égard des Iraniennes.
Conseil national de la Résistance iranienne – Commission des femmes
Le 23 novembre 2018


#Femmes #Iran #CNRI

Iran : trois exécutions publiques à Chiraz ; regain des protestations populaires


Mercredi matin 21 novembre, le régime cruel des mollahs, dans un acte brutal, a pendu collectivement trois prisonniers en public à Chiraz pour « moharebeh » (en guerre contre Dieu).
Ceci intervient alors qu’en dépit des arrestations arbitraires et de toutes sortes de mesures répressives, les protestations des différentes couches de la population, y compris les grèves et les manifestations des ouvriers courageux d'Ahvaz et de Haft Tappeh, se sont poursuivies ces derniers jours. Le régime théocratique a recours aux exécutions publiques pour renforcer le climat de terreur et empêcher l’explosion de la colère populaire contre la misère économique et l’absence des libertés.

Iran : exécution de 10 prisonniers dans la prison de Gohardasht

Le régime iranien a fait pendre 10 prisonniers dans la prison de Gohardasht près de Téhéran, la semaine dernière (mercredi 14 novembre). Un crime qui ajoute à la frénésie meurtrière des mollahs.
Incapable de sortir de ses crises inextricables, le régime n’a d’autre solution qe d’augmenter la répression et les exécutions pour créer une atmosphère et contrer le mécontentement populaire grandissant.
La Résistance iranienne appelle les défenseurs des droits humains, notamment le Haut-Commissaire pour les droits de l’homme et le Rapporteur spécial pour les droits humains en Iran, ainsi que le groupe de travail sur la peine de mort, à condamner ces exécutions. Elle appelle également la communauté internationale à réagir face à ces crimes odieux.
#Iran #exécution


Monday, November 19, 2018

LA SITUATION DES DROITS HUMAINS EN IRAN



 L’Onu a condamné pour la 65e fois les violations des droits de l’Homme en Iran
15 novembre 2018


La résolution de l'ONU souligne la " fréquence alarmante " du recours à la peine de mort, notamment contre les mineurs, le " recours généralisé et systématique à la détention arbitraire ", les mauvaises conditions carcérales, notamment le " refus délibéré d'accès des détenus à des traitements médicaux adéquats " et les " cas de décès suspects de détenus " sous la torture.
« En condamnant les violations systématiques et flagrantes des droits de l'homme par le régime théocratique au pouvoir en Iran, la nouvelle résolution de l'ONU est venu une fois de plus confirmer l’ampleur avec lequel le régime bafoue les droits fondamentaux du peuple iranien dans les domaines politiques, sociaux et économiques »

150 eurodéputés demandent l’expulsion des agents de Renseignement Iraniens de l’EU
19 novembre 2018

Le régime iranien bafoue les droits humains en Iran et prépare des attentats terroristes en Europe
Dans une déclaration commune, 150 membres du Parlement européen ont condamné les violations des droits de l'homme par le régime iranien et ses complots terroristes en Europe. Les signataires appartiennent aux six principaux groupes politiques du Parlement européen et représentent 27 États membres de l'UE. Ils comprennent 4 vice-présidents du Parlement européen et 14 présidents de commissions et de délégations.
Depuis la fin décembre de l’année dernière, les villes iraniennes ont été le théâtre de grands soulèvements et de manifestations anti-régime. L’atmosphère sociale est instable et la population exige des changements fondamentaux...

Une militante des droits civiques emprisonnée écrit une lettre ouverte
1novembre 2018

Atena Daemi est une militante des droits civiques qui a été arrêtée le 21 octobre 2014. Elle a immédiatement été mise à l'isolement où elle est restée 86 jours avant d'être transférée dans la partie réservée aux femmes de la célèbre prison d'Evin, à Téhéran. Au mois de mai suivant, elle a été accusée d'insulte au Guide suprême du pays, de propagande contre le régime, de rassemblement et de collusion contre la sécurité nationale. Le juge Moghiseh, de la Division 28 de la Cour révolutionnaire, lui infligea une peine de 14 ans d'emprisonnement.


#Iran #Un #l'ONU

Friday, November 16, 2018

L'ONU ADOPTE UNE 65ÈME RÉSOLUTION CONDAMNANT LES VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME EN IRAN


14 novembre 2018
Maryam Radjavi : La théocratie iranienne doit être mis au ban des nations pour ses crimes contre le peuple iranien et son dossier renvoyé au Conseil de sécurité de l'ONU et ses dirigeants traduits en justice pour crimes contre l'humanité
« En condamnant les violations systématiques et flagrantes des droits de l'homme par le régime théocratique au pouvoir en Iran, la nouvelle résolution de l'ONU est venu une fois de plus confirmer l’ampleur avec lequel le régime bafoue les droits fondamentaux du peuple iranien dans les domaines politiques, sociaux et économiques », a déclaré Maryam Radjavi, présidente-élue du Conseil national de la Résistance iranienne qui a salué la 65ème résolution de l'ONU sur la situation des droits de l’homme en Iran.
« Le régime des mollahs n'est en rien conforme aux valeurs du XXIe siècle et doit être mis au ban des nations pour ses crimes contre le peuple iranien », a-t-elle insisté.
La résolution de l'ONU souligne la « fréquence alarmante » du recours à la peine de mort, notamment contre les mineurs, le « recours généralisé et systématique à la détention arbitraire », les mauvaises conditions carcérales, notamment le « refus délibéré d'accès des détenus à des traitements médicaux adéquats » et les « cas de décès suspects de détenus » sous la torture.
Compte tenu des autres crimes et politiques répressives du régime que la résolution n'énumère pas, notamment l'assassinat d'opposants à l'étranger, le fait de priver le peuple iranien de sa souveraineté politique et démocratique et de jouir d’un Etat de droit, d'avoir accès à un système juridique équitable, à la liberté d’information et au droit de former des syndicats indépendants et libres, le régime des mollahs est à classer parmi les régimes les plus brutaux de notre siècle.
En conséquence, la communauté internationale doit renvoyer le dossier des crimes du régime islamiste au Conseil de sécurité de l'ONU et reconnaître le droit du peuple iranien de résister à l’oppression.
Mme Radjavi a rappelé que « l'exemple le plus saisissant de violations graves des droits de l'homme en Iran est le massacre des prisonniers politiques perpétré en 1988 par les principales institutions et dirigeants du régime qui détiennent toujours les clés du pouvoir et continuent insolemment de défendre leur crime sans s’inquiéter de sanctions. A ce titre, la question d’une enquête impartiale et la poursuite des responsables de ce grand crime contre l'humanité reste un test de crédibilité et de justice pour la communauté internationale ».

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne

#Iran #Radjavi #l'ONU #Un

Monday, November 12, 2018

Iran: Refus de soins pour une prisonnière de conscience

Un prisonnier de conscience iranien n’a pas accès aux soins médicaux, un crime connu comme du terrorisme médical qui est bien trop courant sous le régime iranien. 

La prisonnière baha’i Negin Ghadamian, qui purge une peine de cinq ans à la prison d'Évine pour avoir enseigné la littérature persane à des étudiants baha’is, se voit refuser l'accès aux soins dans un établissement extérieur parce que le directeur de la clinique de la prison ne l'a pas autorisée à être transférée dans un hôpital.
Ghadamian, enseignante à l'Institut baha'i pour l'enseignement supérieur (BIHE), avait été arrêtée à l'aéroport le 16 décembre 2017 alors qu'elle et son mari Pouya Oladi tentaient de prendre l4avion pour l'Europe.
Elle a été emmenée directement en prison pour y purger la peine qui lui a été infligée en 2013 – elle n’avait jamais été convoquée à se présenter à la prison pour commencer sa peine – et se trouve depuis à la prison d’Évine.
Ghadamian a été arrêtée pour la première fois en 2011 après que des agents du ministère du Renseignement eurent effectué une descente massive au domicile de 39 membres du personnel et de la faculté de la BIHE, au cours de laquelle ils ont confisqué son ordinateur, des livres scientifiques et religieux et d'autres objets personnels. Elle a été relâchée après quelques jours.
Puis, le 12 mars 2013, Ghadamian et neuf autres enseignants baha’is ont été convoqués devant le tribunal révolutionnaire de la prison d'Évine et on leur a demandé soit de signer une promesse de cesser leur travail avec la BIHE et d'enseigner aux étudiants baha'is soit de se rendre en prison.
#Iranien #Évine

Iran : Neuf femmes militantes des droits de l’homme conduites à la prison d'Evine

La situation des droits de l'homme en Iran ne s'est pas améliorée en dépit des appels lancés au régime iranien par les organisations humanitaires internationales pour qu'il soit mis un terme aux graves violations.

Selon des informations récentes en provenance du pays, neuf militantes ont été conduites à la sinistre prison d'Evine, à Téhéran. Cette prison abrite de nombreux prisonniers politiques. Selon Me Amir Raisian, les neuf femmes ont été inculpées cette semaine pour leur implication pour la défense des droits de l’homme.
En Iran, les militants subissent des sanctions sévères pour leurs activités et sont accusés de toutes sortes d'infractions. Certaines accusations portent notamment sur la menace à la sécurité nationale ou sur des actes de propagande contre le régime.
Depuis le début des manifestations qui ont commencé à la fin de l'année dernière, de nombreux manifestants non armés ont été tués par les forces de sécurité. Un grand nombre de manifestants a également été arrêté et incarcéré dans des prisons où ils font l’objet de violence, de torture et de diverses formes de mauvais traitements.
Les prisonniers politiques se voient refuser le droit de visite et ne sont pas souvent autorisés à se faire représenter par un avocat de leur choix. Les proches des prisonniers politiques affirment que les prisonniers ont le choix entre quelques dizaines d'avocats du gouvernement.
Les violations des droits de la personne en Iran durent depuis des décennies. En 1988, les autorités, sous les ordres du Guide Suprême de l'époque, ont exécuté plus de 30 000 prisonniers politiques, dont la plupart étaient des membres de l'opposition. Le peuple iranien demande toujours justice pour ce crime contre l'humanité.

#Iran