گلریزان همیاری، کارزاری میهنی برای کمکرسانی بیشائبه به رسانهای است که صدای قیام مردم ایران برای آزادی و فریاد اعتراضها و خیزشهای حقطلبانه اقشار به ستوه آمده از ستم و چپاول آخوندها را منعکس میکند.
Friday, November 30, 2018
بیست و سومین برنامه همیاری ملی با سیمای آزادی روزهای جمعه، شنبه و یکشنبه ۹، ۱۰ و ۱۱ آذر ۹۷ برابر با ۳۰ نوامبر، اول و دوم دسامبر ۲۰۱۸ برگزار خواهد شد
Thursday, November 29, 2018
Qui est le plus touché par les sanctions contre le régime en Iran ?
Avec la nouvelle série de sanctions, la propagande du régime iranien veut faire croire qu’il se soucie des Iraniens. Tout en prétendant que la population iranienne est la cible réelle des sanctions, le régime ne répond pas aux questions suivantes :
1. Qui est la cause des sanctions et pourquoi ces sanctions visent-elles le régime en premier lieu ?
2. Comment était l'économie iranienne avant et après les sanctions ?
3. Comment les recettes pétrolières de l'Iran sont-elles été dépensées jusqu'à présent ?
4. Les sanctions visent-elles également les produits de base de l'Iran ?
La cause réelle des sanctions n'est rien d'autre que le régime des mollahs lui-même. Leurs activités nucléaires en cours et leurs investissements dans le terrorisme se sont avérés être les plus préjudiciables aux Iraniens.
Au lieu de dépenser la richesse nationale pour la population, Khamenei a dépensé des milliards de dollars en armes nucléaires et en terrorisme au Moyen-Orient. Quelque chose qu'aucun représentant du régime n'a jamais reconnu ou prit la responsabilité de quelque façon que ce soit.
Quel était l'état de l’économie iranienne avant et après les sanctions ? Jetons un coup d'œil au seuil de pauvreté de l'Iran au cours de la dernière décennie. On constate qu'avant même l'entrée en vigueur des sanctions, les Iraniens connaissaient déjà de nombreuses difficultés, qui n’ont fait qu'empirer année après année. Il faut souligner qu'elles n'ont jamais rien eu à voir avec le manque de ressources nationales.
L'Iran a vendu d’énormes quantités de pétrole au fil des ans ; par exemple, 618 milliards de dollars au cours des 8 années de gouvernance d'Ahmadi Nejad, et 273 milliards de dollars à l’ère de Rohani (jusqu'à l'an dernier seulement). Les récents rapports de la Banque mondiale indiquent que 533 milliards de dollars ont été prêtés au régime iranien l'année dernière, soit 5 fois plus qu’en 2016. Les rapports indiquent également que la proportion de la dette extérieure de l'Iran par rapport à son revenu national brut est d'environ 1,4 %, ce qui est le plus faible de tous les autres pays à revenu faible ou intermédiaire.
Au regard de ces informations, l’économie iranienne ne semble pas promise à un avenir très florissant.
Dans une récente interview avec Tasnim (15 juin 2018), Faramarz Tofighi, un représentant du Syndicat des travailleurs, a déclaré que 83% des travailleurs iraniens vivent actuellement en dessous du seuil de pauvreté, et qu'ils subissent de fortes pressions en raison de l’inflation incontrôlable.
Alors que le régime continue de dépenser la richesse nationale pour assurer sa propre survie, les besoins fondamentaux de la population sont ignorés et elle continue de souffrir de la faim chaque jour. Comment les recettes pétrolières de l'Iran ont-elles été dépensées jusqu'à présent ?
Les Iraniens continueront de souffrir de difficultés économiques tant que le régime s'en tirera avec ses projets nucléaires onéreux et ses activités bellicistes dans la région. Comme on peut voir dans le budget de 2018, la plus grande partie des revenus a été continuellement affectée aux Gardiens de la révolution (pasdaran) et à d'autres branches répressives du régime. Et c'est sans compter les détournements de fonds de la part de plusieurs responsables du gouvernement et des membres de leur famille.
#Iran #Sanction
Sunday, November 25, 2018
L’Iran détient l’un des records les plus élevés en matière de violences faites aux femmes
Appel à une action internationale pour mettre fin à la violence institutionnalisée contre les femmes en Iran
Alors
que le monde entier célèbre la Journée internationale pour l'élimination de la
violence à l'égard des femmes, la Commission des femmes du CNRI appelle la
communauté internationale à prendre des mesures pour tenir le régime iranien
responsable de la violence institutionnalisée contre les femmes en Iran.
La
Constitution et les lois du régime théocratique institutionnalisent la violence
à l’égard des femmes et promeuvent les peines cruelles de flagellation, de
lapidation et d'aveuglement.
L'Iran
est le seul pays au monde où les femmes ont été exécutées ou torturées à mort
par milliers pour dissidence. Près d'un millier de femmes ont été arrêtées
l'année dernière et ont subi des violences en détention pour avoir participé à
des manifestations antigouvernementales. 85 femmes ont été exécutées depuis
l'arrivée au pouvoir du président des mollahs Hassan Rohani.
Les
chiffres officiels au cours de l'année écoulée attestent d'une augmentation
drastique de la violence à l'égard des femmes en Iran. Les experts affirment
que sous le régime des mollahs, « l'Iran détient l'une des records
les plus élevés en matière de violences à l’égard femmes ».
(L'agence de presse officielle ILNA, 18 septembre 2018)
Admettant
que les dernières recherches sur les violences faites aux femmes en Iran
remontent à 14 ans, les experts du régime ont révélé que 66 % des femmes
iraniennes ont été victimes de violences au cours de leur vie. (L'agence de
presse officielle ISNA, 16 novembre 2018) Bien que cela représente le double de
la moyenne mondiale, c'est une sous-estimation de la réalité de la vie des
femmes en Iran.
Un membre du Majlis a affirmé que « la
violence conjugale contre les femmes est omniprésente dans la société ».
(L'agence de presse officielle IRNA - 25 novembre 2017)
Toutefois,
le régime a entravé l'adoption du projet de loi sur la prévention des violences
à l'égard des femmes. Non seulement le pouvoir judiciaire a omis environ la
moitié des articles de ce projet de loi, mais il l'a ajourné pendant huit ans
et ne l'a pas transmis au Majlis pour adoption.
La
forme la plus courante de violence infligée aux femmes en Iran est les mesures
prises par l'État pour imposer le port obligatoire du voile. Des dizaines de
clips vidéo diffusés sur les médias sociaux au cours de l'année écoulée
révèlent la barbarie des « patrouilles d'orientation » envers les femmes
iraniennes dans les rues et les parcs.
Une
autre forme courante de violence est le mariage précoce forcé, largement
pratiqué dans tout le pays. Il a été officiellement reconnu que quelque 180 000
fillettes sont contraintes de se marier chaque année. Les experts ont également
souligné l'enregistrement de centaines de mariages de filles de moins de 10
ans. (L'agence de presse officielle IRNA - 5 août 2018)
Les
experts du régime ont également reconnu que les structures juridiques,
judiciaires et disciplinaires existantes en Iran permettent aux hommes de
recourir à la force et de commettre des actes de violence contre les femmes.
(L'agence de presse officielle IRNA - 18 juillet 2018)
La
nature institutionnalisée de la violence contre les femmes en Iran et
cautionnée par l'État, appelle la communauté internationale à prendre des
mesures pour tenir le régime responsable de ses crimes à l’égard des
Iraniennes.
Conseil national de la
Résistance iranienne – Commission des femmes
Le 23 novembre 2018
Le 23 novembre 2018
#Femmes #Iran #CNRI
Iran : trois exécutions publiques à Chiraz ; regain des protestations populaires
Mercredi matin 21 novembre, le régime cruel des mollahs,
dans un acte brutal, a pendu collectivement trois prisonniers en public à
Chiraz pour « moharebeh » (en guerre contre Dieu).
Ceci
intervient alors qu’en dépit des arrestations arbitraires et de toutes sortes
de mesures répressives, les protestations des différentes couches de la
population, y compris les grèves et les manifestations des ouvriers courageux d'Ahvaz
et de Haft Tappeh, se sont poursuivies ces derniers jours. Le
régime théocratique a recours aux exécutions publiques pour renforcer le climat
de terreur et empêcher l’explosion de la colère populaire contre la misère
économique et l’absence des libertés.
Iran : exécution de 10 prisonniers dans la prison de Gohardasht
Le régime iranien a fait pendre 10 prisonniers dans la
prison de Gohardasht près de Téhéran, la semaine dernière (mercredi 14
novembre). Un crime qui ajoute à la frénésie meurtrière des mollahs.
Incapable
de sortir de ses crises inextricables, le régime n’a d’autre solution qe
d’augmenter la répression et les exécutions pour créer une atmosphère et
contrer le mécontentement populaire grandissant.
La
Résistance iranienne appelle les défenseurs des droits humains, notamment le
Haut-Commissaire pour les droits de l’homme et le Rapporteur spécial pour les
droits humains en Iran, ainsi que le groupe de travail sur la peine de mort, à
condamner ces exécutions. Elle appelle également la communauté internationale à
réagir face à ces crimes odieux.
#Iran #exécution
Monday, November 19, 2018
LA SITUATION DES DROITS HUMAINS EN IRAN
La résolution de l'ONU souligne
la " fréquence alarmante " du recours à la peine de mort, notamment
contre les mineurs, le " recours généralisé et systématique à la détention
arbitraire ", les mauvaises conditions carcérales, notamment le "
refus délibéré d'accès des détenus à des traitements médicaux adéquats "
et les " cas de décès suspects de détenus " sous la torture.
« En condamnant les violations
systématiques et flagrantes des droits de l'homme par le régime théocratique au
pouvoir en Iran, la nouvelle résolution de l'ONU est venu une fois de plus
confirmer l’ampleur avec lequel le régime bafoue les droits fondamentaux du
peuple iranien dans les domaines politiques, sociaux et économiques »
150
eurodéputés demandent l’expulsion des agents de
Renseignement Iraniens de l’EU
Le régime iranien bafoue les
droits humains en Iran et prépare des attentats terroristes en Europe
Dans une déclaration commune, 150
membres du Parlement européen ont condamné les violations des droits de l'homme
par le régime iranien et ses complots terroristes en Europe. Les signataires
appartiennent aux six principaux groupes politiques du Parlement européen et
représentent 27 États membres de l'UE. Ils comprennent 4 vice-présidents du
Parlement européen et 14 présidents de commissions et de délégations.
Depuis la fin décembre de l’année
dernière, les villes iraniennes ont été le théâtre de grands soulèvements et de
manifestations anti-régime. L’atmosphère sociale est instable et la population
exige des changements fondamentaux...
Une
militante des droits civiques emprisonnée écrit une
lettre ouverte
Atena Daemi est une militante des
droits civiques qui a été arrêtée le 21 octobre 2014. Elle a immédiatement été
mise à l'isolement où elle est restée 86 jours avant d'être transférée dans la
partie réservée aux femmes de la célèbre prison d'Evin, à Téhéran. Au mois de
mai suivant, elle a été accusée d'insulte au Guide suprême du pays, de
propagande contre le régime, de rassemblement et de collusion contre la
sécurité nationale. Le juge Moghiseh, de la Division 28 de la Cour
révolutionnaire, lui infligea une peine de 14 ans d'emprisonnement.
#Iran #Un #l'ONU
Friday, November 16, 2018
L'ONU ADOPTE UNE 65ÈME RÉSOLUTION CONDAMNANT LES VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME EN IRAN
14 novembre 2018
Maryam Radjavi : La théocratie
iranienne doit être mis au ban des nations pour ses crimes contre le peuple
iranien et son dossier renvoyé au Conseil de sécurité de l'ONU et ses
dirigeants traduits en justice pour crimes contre l'humanité
« En condamnant les violations systématiques
et flagrantes des droits de l'homme par le régime théocratique au pouvoir en
Iran, la nouvelle résolution de l'ONU est venu une fois de plus confirmer
l’ampleur avec lequel le régime bafoue les droits fondamentaux du peuple
iranien dans les domaines politiques, sociaux et économiques », a déclaré
Maryam Radjavi, présidente-élue du Conseil national de la Résistance iranienne
qui a salué la 65ème résolution de l'ONU sur la situation des droits de l’homme
en Iran.
« Le régime des mollahs n'est en rien
conforme aux valeurs du XXIe siècle et doit être mis au ban des nations pour
ses crimes contre le peuple iranien », a-t-elle insisté.
La résolution de l'ONU souligne la «
fréquence alarmante » du recours à la peine de mort, notamment contre les
mineurs, le « recours généralisé et systématique à la détention arbitraire »,
les mauvaises conditions carcérales, notamment le « refus délibéré d'accès des
détenus à des traitements médicaux adéquats » et les « cas de décès suspects de
détenus » sous la torture.
Compte tenu des autres crimes et
politiques répressives du régime que la résolution n'énumère pas, notamment
l'assassinat d'opposants à l'étranger, le fait de priver le peuple iranien de
sa souveraineté politique et démocratique et de jouir d’un Etat de droit,
d'avoir accès à un système juridique équitable, à la liberté d’information et
au droit de former des syndicats indépendants et libres, le régime des mollahs
est à classer parmi les régimes les plus brutaux de notre siècle.
En conséquence, la communauté
internationale doit renvoyer le dossier des crimes du régime islamiste au
Conseil de sécurité de l'ONU et reconnaître le droit du peuple iranien de
résister à l’oppression.
Mme Radjavi a rappelé que « l'exemple
le plus saisissant de violations graves des droits de l'homme en Iran est le
massacre des prisonniers politiques perpétré en 1988 par les principales
institutions et dirigeants du régime qui détiennent toujours les clés du pouvoir
et continuent insolemment de défendre leur crime sans s’inquiéter de sanctions.
A ce titre, la question d’une enquête impartiale et la poursuite des
responsables de ce grand crime contre l'humanité reste un test de crédibilité
et de justice pour la communauté internationale ».
#Iran #Radjavi #l'ONU #Un
Monday, November 12, 2018
Iran: Refus de soins pour une prisonnière de conscience
Un prisonnier de conscience iranien n’a pas accès aux soins médicaux, un crime connu comme du terrorisme médical qui est bien trop courant sous le régime iranien.
La prisonnière baha’i Negin Ghadamian, qui purge une peine de cinq ans à la prison d'Évine pour avoir enseigné la littérature persane à des étudiants baha’is, se voit refuser l'accès aux soins dans un établissement extérieur parce que le directeur de la clinique de la prison ne l'a pas autorisée à être transférée dans un hôpital.
Ghadamian, enseignante à l'Institut baha'i pour l'enseignement supérieur (BIHE), avait été arrêtée à l'aéroport le 16 décembre 2017 alors qu'elle et son mari Pouya Oladi tentaient de prendre l4avion pour l'Europe.
Elle a été emmenée directement en prison pour y purger la peine qui lui a été infligée en 2013 – elle n’avait jamais été convoquée à se présenter à la prison pour commencer sa peine – et se trouve depuis à la prison d’Évine.
Ghadamian a été arrêtée pour la première fois en 2011 après que des agents du ministère du Renseignement eurent effectué une descente massive au domicile de 39 membres du personnel et de la faculté de la BIHE, au cours de laquelle ils ont confisqué son ordinateur, des livres scientifiques et religieux et d'autres objets personnels. Elle a été relâchée après quelques jours.
Puis, le 12 mars 2013, Ghadamian et neuf autres enseignants baha’is ont été convoqués devant le tribunal révolutionnaire de la prison d'Évine et on leur a demandé soit de signer une promesse de cesser leur travail avec la BIHE et d'enseigner aux étudiants baha'is soit de se rendre en prison.
#Iranien #Évine
Iran : Neuf femmes militantes des droits de l’homme conduites à la prison d'Evine
La situation des droits de l'homme en Iran ne s'est pas améliorée en dépit des appels lancés au régime iranien par les organisations humanitaires internationales pour qu'il soit mis un terme aux graves violations.
Selon des informations récentes en provenance du pays, neuf militantes ont été conduites à la sinistre prison d'Evine, à Téhéran. Cette prison abrite de nombreux prisonniers politiques. Selon Me Amir Raisian, les neuf femmes ont été inculpées cette semaine pour leur implication pour la défense des droits de l’homme.
En Iran, les militants subissent des sanctions sévères pour leurs activités et sont accusés de toutes sortes d'infractions. Certaines accusations portent notamment sur la menace à la sécurité nationale ou sur des actes de propagande contre le régime.
Depuis le début des manifestations qui ont commencé à la fin de l'année dernière, de nombreux manifestants non armés ont été tués par les forces de sécurité. Un grand nombre de manifestants a également été arrêté et incarcéré dans des prisons où ils font l’objet de violence, de torture et de diverses formes de mauvais traitements.
Les prisonniers politiques se voient refuser le droit de visite et ne sont pas souvent autorisés à se faire représenter par un avocat de leur choix. Les proches des prisonniers politiques affirment que les prisonniers ont le choix entre quelques dizaines d'avocats du gouvernement.
Les violations des droits de la personne en Iran durent depuis des décennies. En 1988, les autorités, sous les ordres du Guide Suprême de l'époque, ont exécuté plus de 30 000 prisonniers politiques, dont la plupart étaient des membres de l'opposition. Le peuple iranien demande toujours justice pour ce crime contre l'humanité.
#Iran
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