Monday, January 28, 2019

Grande Marche à Paris contre les violations des droits humains en Iran

Stop aux violations des droits humains et à la destruction de l’environnement en Iran

Vendredi 8 Février 2019, marche depuis Denfert-Rochereau

Appel à une grande manifestation contre les violations graves des droits humains par le régime des mollahs. Un régime qui détient le triste record mondial du nombre d’exécutions par habitant. De plus, l'Iran est le pays qui exécute le plus de mineurs dans le monde, indique Amnesty International, accusant le régime iranien d'utiliser la torture et la maltraitance pour forcer les jeunes personnes à parler.


Surfant sur la vague de la révolution contre la dictature monarchiste en Iran, les mollahs ont trahi la cause de cette grande révolution pour « l’indépendance, la liberté et la république », et ont instauré à la place une dictature religieuse. Depuis 1979, ce régime a confisqué la plus grande part de l’économie du pays et déclenché des désastres environnementaux (pollution, assèchements, ...) ; il a étouffé les libertés, particulièrement au détriment des femmes et des jeunes, il a bafoué les droits syndicaux, incarcéré opposants et manifestants, commis des milliers d’exécutions ; il a dilapidé les richesses du pays pour financer sa politique belliciste dans la région et fomenter des attentats terroristes en France et en Europe.

Au seuil du 40e anniversaire de la chute du régime du chah en Iran (février 1979), alors que la dictature religieuse est plus que jamais embourbée dans des crises politiques, économiques et sociales incurables ; et que les iraniens se soulèvent à l’intérieur du pays pour réclamer les libertés fondamentales, les manifestants déclareront leur soutien à l’instauration d’une démocratie en Iran.

Cette initiative est soutenue par plusieurs maires d’arrondissement de Paris et de nombreuses associations de défense des droits humains.

Vendredi 8 février 2019
Rassemblement à 14h00
Place Denfert-Rochereau
75014 Paris




Wednesday, January 9, 2019

Vidéo - L’Iran sera le théâtre de plus de manifestations en 2019


Début 2018, l'Iran a été balayé par des manifestations contre la dictature à l'échelle nationale et le monde entier l'observait. Ces manifestations se sont poursuivies tout au long de l'année jusqu'en 2019, mais avec moins de couvertures médiatiques.
Ce mouvement de protestation continu est le plus important jamais vu en Iran depuis le soulèvement de 2009 ou peut-être depuis la Révolution de 1979. Il a ébranlé le régime jusqu'aux fondements et indique que le pays est sur le point de connaître un changement social d’envergure. Cela a montré que le régime iranien est très vulnérable à l’intérieur et que tout peut changer rapidement.
Lors des manifestations de 2009, le Guide suprême Ali Khamenei a tenté de se distancier de la colère du peuple en exploitant la fausse distinction entre lui et le parlement iranien. Aujourd'hui, les Iraniens le dénoncent et font savoir aux mollahs dans leur ensemble que « la partie est finie ». Une autre chose à noter est que les manifestants de 2018 viennent de tous les horizons en Iran, y compris de la base du régime.
Les échecs du régime sur tous les fronts, notamment et le soutien coûteux aux interventions militaires étrangères et aux groupes terroristes, ont fait que plus de 80 % des Iraniens vivent sous le seuil de la pauvreté, ce qui a provoqué ces manifestations de masse. Le régime est responsable de la crise qui frappe l'Iran, et non les sanctions américaines ou les entreprises européennes qui se retirent d'Iran.
En effet, la pression occidentale n'est efficace que parce que l'économie iranienne a été rendue instable par 40 ans de pouvoir des mollahs.
Le régime a tenté d'imputer les protestations à des personnes d'influence étrangères, mais les Iraniens reconnaissent que leurs problèmes commencent et se terminent avec le régime iranien, de sorte que la seule solution est de changer de régime. Ils ont scandé : « Notre ennemi est juste ici, ils mentent que c'est l'Amérique. » Cela a montré où il faut frapper pour causer le plus de dommages aux mollahs. Cela implique également d’apporter un soutien politique à la Résistance iranienne.
#Iran  #Manifestations

L’inscription des services secrets iraniens sur la liste du terrorisme de l’UE



Suite à la décision du Conseil des ministres de l'Union européenne d’inscrire les services secrets iraniens sur la liste des entités terroristes de l’UE pour des attentats commis sur le sol européen, Afchine Alavi, membre de la Commission des Affaires étrangères du CNRI a fait la déclaration suivante :
« La décision de l’Union européenne pour sanctionner le ministère iranien du Renseignement est un pas positif et nécessaire, mais insuffisant pour faire face au terrorisme de Téhéran. Le ministère iranien du renseignement et les Gardiens de la révolution sont les deux principaux organes du terrorisme iranien et à ce titre ils doivent être sanctionnés dans leur totalité. Le temps est venu que l’Union européenne adopte une position ferme et vigoureuse contre ces agissements criminels, en procédant notamment à l’expulsion des agents iraniens sur le sol européen. L’expérience des trois dernières décennies à montrer que les mollahs ne comprennent que le langage de la fermeté.
« Le terrorisme est un instrument de la survie du pouvoir islamiste en Iran. En 2018, les renseignements du Conseil national de la résistance iranienne ont montré que le projet d’attentat contre le rassemblement de la Résistance iranienne à Villepinte en juin 2018 avait été décidé par le Conseil suprême de la sécurité nationale du régime iranien, sous la direction du président de la république, et cautionné par le Guide suprême, Ali Khamenei.
« En profitant de la politique de complaisance européenne au cours des dernières années, Téhéran a pu étendre son appareil de terrorisme en Europe, à tel point qu’en 2018 ses activités ont englobé sept pays européens : France, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, Allemagne, Danemark et l’Albanie. Il est de notoriété publique que les ambassades iraniennes en Europe sont des centres de préparation d’actes terroristes et que les diplomates du régime ont eu un rôle clé dans ces crimes…
#l’UE #Iran



Tuesday, January 1, 2019

Faezeh Hashemi : L'effondrement formel du régime iranien est proche

Faezeh Hashemi, ancien député et fille d'Akbar Hashemi Rafsanjani (président des mollahs de 1989 à 1997), a déclaré que le système en place en Iran s'est déjà effondré dans son contenu et ce qui reste est seulement une forme.

Dans une interview au journal Mostaghel, elle a déclaré : « De mon point de vue, l'effondrement du contenu s'est produit, et seul l'effondrement formatif et physique ne s'est pas produit, et il est très probable que cela se produira aussi. »
L’ancien parlementaire estime que le régime n'a gardé ses fondations « intactes » que par la terreur et l'intimidation.
Selon elle, malgré le fait que le régime utilise moins de condamnations en public qu'en 2009, il a imposé de lourdes peines de prison à diverses couches de la population, dont les ouvriers, les enseignants, les camionneurs, les étudiants, les militants écologistes et les hommes d'affaires.
Dans le même ordre d'idées, Hashemi s'est penché sur la non-apparition d'un « effondrement formel et physique » du régime pour deux raisons. L'une est la « grande répression » et l'intimidation des différentes classes, et l'autre est la crainte que « si ce régime tombe, que se passera-t-il ensuite ? »
« Mais l'effondrement du régime dans le contenu s'est produit, car où que l'on regarde, il y a un fiasco, » a-t-elle fait valoir.
#Iran

Nous vous souhaitons joyeux Noël et une nouvelle année pleine de succès